Charles Baudelaire
1821-1867
Les Fleurs du Mal
Edition de 1861

TABLE DES MATIERES ET DES INCIPIT


Dédicace "Au Poète impeccable"

Au Lecteur "La sottise, l'erreur, le péché, la lésine,"

SPLEEN ET IDEAL

I. Bénédiction "Lorsque, par un décret des puissances suprêmes,"

II. L'Albatros "Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage"

III. Elévation "Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,"

IV. Correspondances "La Nature est un temple où de vivants piliers"

V. "J'aime le souvenir de ces époques nues,"

VI. Les Phares "Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse,"

VII. La Muse malade "Ma pauvre muse, hélas! qu'as-tu donc ce matin?"

VIII. La Muse vénale "O muse de mon coeur, amante des palais "

IX. Le Mauvais Moine "Les cloîtres anciens sur leurs grandes murailles"

X. L'Ennemi "Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,"

XI. Le Guignon "Pour soulever un poids si lourd,"

XII. La Vie antérieure "J'ai longtemps habité sous de vastes portiques"

XIII. Bohémiens en Voyage "La tribu prophétique aux prunelles ardentes"

XIV. L'Homme et la Mer "Homme libre, toujours tu chériras la mer!"

XV. Don Juan aux Enfers "Quand Don Juan descendit vers l'onde souterraine"

XVI. Châtiment de l'Orgueil "En ces temps merveilleux où la Théologie"

XVII. La Beauté "Je suis belle, ô mortels! comme un rêve de pierre,"

XVIII. L'Idéal "Ce ne seront jamais ces beautés de vignettes,"

XIX. La Géante "Du temps que la Nature en sa verve puissante"

XX. Le Masque "Contemplons ce trésor de grâces florentines;"

XXI. Hymne à la Beauté "Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme,"

XXII. Parfum exotique "Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne,"

XXIII. La Chevelure "O toison, moutonnant jusque sur l'encolure!"

XXIV. "Je t'adore à l'égal de la voûte nocturne,"

XXV. "Tu mettrais l'univers entier dans ta ruelle,"

XXVI. Sed non satiata "Bizarre déité, brune comme les nuits,"

XXVII. "Avec ses vêtements ondoyants et nacrés,"

XXVIII. Le Serpent qui danse "Que j'aime voir, chère indolente,"

XXIX. Une Charogne "Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme,"

XXX. De profundis clamavi "J'implore ta pitié, Toi, l'unique que j'aime,"

XXXI. Le Vampire "Toi qui, comme un coup de couteau,"

XXXII. "Une nuit que j'étais près d'une affreuse Juive,"

XXXIII. Remords posthume "Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse,"

XXXIV. Le Chat "Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux;"

XXXV. Duellum "Deux guerriers ont couru l'un sur l'autre, leurs armes"

XXXVI. Le Balcon "Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses,"

XXXVII. Le Possédé "Le soleil s'est couvert d'un crêpe. Comme lui,"

XXXVIII. Un Fantôme

XXXIX. "Je te donne ces vers afin que si mon nom"

XL. Semper Eadem "D'où vous vient, disiez-vous, cette tristesse étrange,"

XLI. Tout entière "Le Démon, dans ma chambre haute"

XLII. "Que diras-tu ce soir, pauvre âme solitaire,"

XLIII. Le Flambeau vivant "Ils marchent devant moi, ces Yeux pleins de lumières,"

XLIV. Réversibilité "Ange plein de gaieté, connaissez-vous l'angoisse,"

XLV. Confession "Une fois, une seule, aimable et douce femme,"

XLVI. L'Aube spirituelle "Quand chez les débauchés l'aube blanche et vermeille"

XLVII. Harmonie du Soir "Voici venir les temps où vibrant sur sa tige"

XLVIII. Le Flacon "II est de forts parfums pour qui toute matière"

XLIX. Le Poison "Le vin sait revêtir le plus sordide bouge"

L. Ciel brouillé "On dirait ton regard d'une vapeur couvert;"

LI. Le Chat "Dans ma cervelle se promène,"

LII. Le Beau Navire "Je veux te raconter, ô molle enchanteresse!"

LIII. L'Invitation au Voyage "Mon enfant, ma soeur,"

LIV. L'Irréparable "Pouvons-nous étouffer le vieux, le long Remords,"

LV. Causerie "Vous êtes un beau ciel d'automne, clair et rose!"

LVI. Chant d'Automne "Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres;"

LVII. A une Madone "Je veux bâtir pour toi, Madone, ma maîtresse,"

LVIII. Chanson d'Après-midi "Quoique tes sourcils méchants"

LIX. Sisina "Imaginez Diane en galant équipage,"

LX. Franciscae meae laudes "Novis te cantabo chordis,"

LXI. A une Dame créole "Au pays parfumé que le soleil caresse,"

LXII. Moesta et errabunda "Dis-moi ton coeur parfois s'envole-t-il, Agathe,"

LXIII. Le Revenant "Comme les anges à l'oeil fauve,"

LXIV. Sonnet d'Automne "Ils me disent, tes yeux, clairs comme le cristal:"

LXV. Tristesses de la Lune "Ce soir, la lune rêve avec plus de paresse;"

LXVI. Les Chats "Les amoureux fervents et les savants austères"

LXVII. Les Hiboux "Sous les ifs noirs qui les abritent"

LXVIII. La Pipe "Je suis la pipe d'un auteur;"

LXIX. La Musique "La musique souvent me prend comme une mer!"

LXX. Sépulture "Si par une nuit lourde et sombre"

LXXI. Une Gravure fantastique "Ce spectre singulier n'a pour toute toilette,"

LXXII. Le Mort joyeux "Dans une terre grasse et pleine d'escargots"

LXXIII. Le Tonneau de la Haine "La Haine est le tonneau des pâles Danaïdes;"

LXXIV. La Cloche fêlée "II est amer et doux, pendant les nuits d'hiver,"

LXXV. Spleen "Pluviôse, irrité contre la ville entière,"

LXXVI. Spleen "J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans."

LXXVII. Spleen "Je suis comme le roi d'un pays pluvieux,"

LXXVIII. Spleen "Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle"

LXXIX. Obsession "Grands bois, vous m'effrayez comme des cathédrales;"

LXXX. Le Goût du Néant "Morne esprit, autrefois amoureux de la lutte,"

LXXXI. Alchimie de la Douleur "L'un t'éclaire avec son ardeur,"

LXXXII. Horreur sympathique "De ce ciel bizarre et livide,"

LXXXIII. L'Héautontimorouménos "Je te frapperai sans colère"

LXXXIV. L'Irrémédiable "Une Idée, une Forme, un Etre"

LXXXV. L'Horloge "Horloge! dieu sinistre, effrayant, impassible,"

TABLEAUX PARISIENS

LXXXVI. Paysage "Je veux, pour composer chastement mes églogues,"

LXXXVII. Le Soleil "Le long du vieux faubourg, où pendent aux masures"

LXXXVIII. A une Mendiante rousse "Blanche fille aux cheveux roux,"

LXXXIX. Le Cygne "Andromaque, je pense à vous! Ce petit fleuve,"

XC. Les Sept Vieillards "Fourmillante cité, cité pleine de rêves,"

XCI. Les Petites Vieilles "Dans les plis sinueux des vieilles capitales,"

XCII. Les Aveugles "Contemple-les, mon âme; ils sont vraiment affreux!"

XCIII. A une Passante "La rue assourdissante autour de moi hurlait."

XCIV. Le Squelette laboureur "Dans les planches d'anatomie"

XCV. Le Crépuscule du Soir "Voici le soir charmant, ami du criminel;"

XCVI. Le Jeu "Dans des fauteuils fanés des courtisanes vieilles,"

XCVII. Danse macabre "Fière, autant qu'un vivant, de sa noble stature,"

XCVIII. L'Amour du Mensonge "Quand je te vois passer, ô ma chère indolente,"

XCIX. "Je n'ai pas oublié, voisine de la ville,"

C. "La servante au grand coeur dont vous étiez jalouse,"

CI. Brumes et Pluies "O fins d'automne, hivers, printemps trempés de boue,"

CII. Rêve parisien "De ce terrible paysage,"

CIII. Le Crépuscule du Matin "La diane chantait dans les cours des casernes,"

LE VIN

CIV. L'Ame du Vin "Un soir, l'âme du vin chantait dans les bouteilles:"

CV. Le Vin des Chiffonniers "Souvent à la clarté rouge d'un réverbère"

CVI. Le Vin de l'Assassin "Ma femme est morte, je suis libre!"

CVII. Le Vin du Solitaire "Le regard singulier d'une femme galante"

CVIII. Le Vin des Amants "Aujourd'hui l'espace est splendide!"

FLEURS DU MAL

CIX. La Destruction "Sans cesse à mes côtés s'agite le Démon;"

CX. Une Martyre "Au milieu des flacons, des étoffes lamées"

CXI. Femmes damnées "Comme un bétail pensif sur le sable couchées,"

CXII. Les Deux Bonnes Soeurs "La Débauche et la Mort sont deux aimables filles,"

CXIII. La Fontaine de Sang "Il me semble parfois que mon sang coule à flots,"

CXIV. Allégorie "C'est une femme belle et de riche encolure,"

CXV. La Béatrice "Dans des terrains cendreux, calcinés, sans verdure,"

CXVI. Un Voyage à Cythère "Mon coeur, comme un oiseau, voltigeait tout joyeux"

CXVII. L'Amour et le Crâne "L'Amour est assis sur le crâne"

REVOLTE

CXVIII. Le Reniement de Saint Pierre "Qu'est-ce que Dieu fait donc de ce flot d'anathèmes"

CXIX. Abel et Caïn "Race d'Abel, dors, bois et mange;"

CXX. Les Litanies de Satan "O toi, le plus savant et le plus beau des Anges,"

LA MORT

CXXI. La Mort des Amants "Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères,"

CXXII. La Mort des Pauvres "C'est la Mort qui console, hélas! et qui fait vivre;"

CXXIII. La Mort des Artistes "Combien faut-il de fois secouer mes grelots"

CXXIV. La Fin de la Journée "Sous une lumière blafarde"

CXXV. Le Rêve d'un Curieux "Connais-tu, comme moi, la douleur savoureuse"

CXXVI. Le Voyage "Pour l'enfant, amoureux de cartes et d'estampes,"


Baudelaire

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